Je ne sais pas si c'est mon cerveau qui y voit une allusion coquine mais je me demande ce que l'auteur de cette requête voulait trouver ? Des témoignages de femme comblée malgré la vitesse extrême de leur partenaire ? Des amateurs de sensation forte en manque d'inspiration ? Non, je vois pas ... 

N°3 : "Repas qui fait grossir"
Décliné en plusieurs requête comme "repas qui fait grossir vite", "plat qui fait grossir", "plat de pomme de terre qui fait grossir". A l'heure où j'essaye de me débarrasser tant bien que mal de mes kilos superflus, ça me fait sourire de savoir que certains en voudrait. Je vous les donne. Par contre, les pommes de terre ne font pas grossir en tant que tel. Si vous voulez grossir avec des pommes de terres ? Rajouter du beurre, voire du saint doux, du fromage, une bonne dose de charcuterie (avec le plus de couenne possible) arrosé le tout d'une demi bouteille de vin blanc, et répéter l'opération autant de fois que nécessaire. 

N°2 "Osons sortir sans soutif"
Voici un bel appel. Je ne sais pas si la requête visait à m'inviter à la liberté mamaire ou si cette demoiselle avait besoin de soutien (HAHA). A moins que ce soit un voyeur ayant besoin de voir du téton par transparence. Allez savoir !

Et mon N°1 "Chaussure transformé en animal"
Alors même si je n'ai pas fait d'étude de cordonnerie, j'ai du mal à imaginé. L'inverse encore, je veux bien. Demandez à Cendrillon... Mais là, essayer de transformer une chaussure en animal... Non, vraiment, ce blog ne pourra absolument pas vous aider. Essayez donc de demander l'aide d'Harry-Potter ou de Merlin l'Enchanteur... 
 

A bientôt !

Une rue paisible d'un village provençal ? On pourrait y croire vu le calme qui règne dans cette rue, vu la verdure des glycines qui recouvrent les murs en plein été. Mais non, ne ne sommes pas dans le Sud de la France. Ici, pas de cigales, pas de grosses chaleurs. Nous sommes à 2 rues parallèles de chez moi, dans le 14ème arrondissement de Paris. Cette magnifique rue, c'est la Rue des Thermophyles... Laissez -vous guider.

La nature semble avoir repris le dessus sur les constructions humaines. Ils règnent ici une douce odeur de fleur, qui doit être encore plus agréable au printemps.
 

Marchez doucement dans cette rue, ouvrez grand les yeux, et regardez bien autour de vous. Vous verrez à quel point la vie semble différente ici. Aucune voiture dans cette rue, seuls les scooters et les vélos ont leur place ici.

L'histoire de cette rue fait rêver. Alors si vous souhaitez en savoir un peu plus, voici comment à été créer ce petit bout de paradis en plein Paris :

" La traversée de l'ancien village de "Plaisance" réserve bien des tours et détours. Plaisance... un nom évocateur pour un nouveau village fondé dans une étendue presque déserte, dont Hugo se plaisait à décrire la "mélancolie pénétrante". C'est à partir de 1832 que ces terres isolées qui dépendaient de l'important bourg de Vaugirard attirèrent les spéculateurs qui y tracèrent d'étroites voies et lotirent leurs rives. Des "aspirants aux petits lopins", des employés pour la plupart, acquirent ces modestes propriétés en assez grand nombre pour accroître la population de manière significative. En 1845, le sieur Chauvelot créa le village des Thermophyles et la rue du même nom, ainsi que le passage Léonidas. Vaugirard protesta, arguant que cette nouvelle opération attirait dans les environs une population bruyante. Mais rien n'y fit : les "castors ouvriers" resistèrent et s'implantèrent solidement sur leur nouvelles terres. Les impasses en "arêtes de poisson" que sont les villas Jamot, Duthy, Mallebay, Deshayes ou Collet témoignent elle aussi du courage et de l'obstination des fameux batisseurs."
Paris Secret et Insolite, p.184

 

Difficile de se dire qu'il y a un peu moins de 2 siècles, il n'y avait ici que de vertes prairies et pas l'ombre du grand Paris d'aujourd'hui...

Continuez votre promenade jusqu'à arriver au bout de la rue, juste avant le virage...

 

Vous arrivez face à une impasse peu engageante. Mais tout aussi calme que le reste de la rue.

Un peu plus loin, un petit square offre un dernier instant de verdure à la ville. Quelques parisiens profitent des rayons du soleil et des températures clémentes de la saison. Vous verrez même, sur les grilles qui séparent le square de la rue, des fleurs magnifiques et assez amusantes...

Et c'est ici que ce termine le bonheur hors de Paris. On revient à la réalité en arrivant au croisement avec la rue Didot...

Mais rentrer au pays, c'est également côtoyer les petites, et les moins petites bêtes...

Mais surtout, rentrer au pays signifie que l'on pourra remplir ses yeux des couleurs du jardin, fouler l'herbe fraichement coupée de ses pieds nus, se remplir les narines de toutes les odeurs fraîches et vivifiantes de la campagne... 


En bref, rentrer chez soi, même lorsque l'on y a habiter pendant plus de 18 ans, c'est de nouveau un dépaysement total, un relâchement total ,un abandon des sens à la nature...

Préparez le canard : couper la peau des magrets sans couper la chaire. Mettre les magrets dans une poële sans matière grasse du côté peau. Faire dorer de chaque côté, selon votre goût (pour une viande rosée, comptez 5 minutes de chaque côté)... Au fur et à mesure, enlever la graisse de cuisson (ou la réserver pour les pommes de terre si vous n'avez pas de graisse d'oie). Une fois les magrets cuits, les réserver (au four pour pas qu'ils ne refroidissent, mais à basse température pour ne pas qu'ils continuent de cuire ni ne sèche).

Préparez la sauce : Dans la poêle de cuisson du canard, déglacer le jus avec du fond de veau. Mélanger ensuite le miel et le vinaigre selon les dosages suivant : pour une cuillère à soupe de miel, compter une cuillère à café de vinaigre. (Le vinaigre balsamique donne un petit goût à la sauce, le vinaigre d'alcool convient également)... Ne pas faire bouillir le mélange pour risque de caramélisation, remuer jusqu'à l'obtention d'une sauce brune bien homogène.

Une petite suggestion d'accompagnement : Les pommes de terre sarladaises




Préparez les pommes de terre : éplucher les pommes de terre, les rincer, bien les essuyer puis les couper en tranche relativement fine et bien plate. Dans une poêle, faire chauffer la matière grasse (graisse d'oie si possible, beurre salé sinon). Verser les pommes de terre et les faire dorer des deux côtés. Dès que les pommes de terre changent de couleur, baisser le feu et laisser cuire doucement. (environ 45 minutes)... Le but est que les pommes de terre soient croustillantes atour mais moelleuses à l'intérieur ;)

Préparez la persillade : dans un récipient, hachez du persil puis mélangez le à la gousse d'ail préalablement écrasée. Assaisonner à votre convenance.

Finissez la cuisson du plat : Vous n'avez plus qu'à mélanger la persillade et les pommes de terre. Le but est de faire croustiller les pommes de terre sans faire cramer la persillade.

Montez vos assiettes : Mettez les pommes de terre, puis le canard et enfin napper généreusement les canards de sauce au miel...

Petit conseil : Si vous faites ce plat en entier, commencer par les pommes de terre puis occupez vous du canard lorsque les pommes de terre doivent cuire à feu moyen. La sauce peut être faite en toute fin, 2 minutes avant de servir.

Et voilà un plat (très) gourmand et pas du tout light !
 

(Pour les photos plus en détails, cliquez ICI)

Ce kit est vraiment très complet puisqu'il contient tous les accessoires nécessaires à la réalisation du bento. Et je vais même pouvoir faire moi même mes sushis avec le moule à sushi :D Un autre accessoire qui ma beaucoup amusé, est le moule à œuf dur en forme d'étoile... C'est original et ça change de l'ordinaire. Enfin, l'avantage du livre d'accompagnement du kit, est non seulement de nous montrer de nombreuses créations très jolies et très réussies (mais toujours dans des bento plus grand que celui offert dans le kit...) mais, et surtout, de proposer des recettes japonaises qu'il va falloir que je teste très rapidement !

La boite est assez petite mais devrait suffire si je la remplit avec des aliments qui blinde bien le ventre, et puis après tout, c'est l'été, faut manger plus léger ! Et cette boite est bien plus pratique que la collection de tupperware que je me trimballe habituellement... Là tout est compris dans la même boite ! Même les couverts !

Chaque année, à Pâques, nous avons une petite tradition familiale : l'Arbre de Pâques.

Fait de quelques branches de bois et de décorations, cet arbre éphémère n'est là que pour nous rappeler la joie des moments en famille. Ces moments où l'on plante ces quelques branches dans un carré de mousse, que l'on décore des quelques poussins, de quelques oeufs et d'un petit lapin. Et que l'on dresse fièrement au milieu de la table... Ces moments où l'on va partager un bon repas et quelques chocolats, ces moments de rire et de discussions.. Ces moments de retrouvailles d'une famille éloignée.
 

En ce moment, je cours dans tous les sens. J'ai eu une semaine de vacances. Ma dernière vraie semaine de vacances avant un bon moment... On dira, pas avant mars 2011... Alors forcément en ce moment je n'ai pas trop la tête à poster. J'ai pourtant des tonnes de choses à vous dire, mais je n'ai plus les mots, comme si je n'arrivais plus à laisser mes doigts glissés le long du clavier...

J'ai décidé d'inaugurer une nouvelle catégorie appelée "PhonePhotos". En déchargeant les photos de mon téléphone portable, je me suis rendus compte que ces photos me racontaient mieux que n'importe quel mot. Surtout que j'ai plus facilement l'occasion et le reflex de prendre des photos avec mon portable... Je vais donc poster de temps en temps des melting-pots de ma vie sous forme de petites vignettes. Je ne vous promet rien quant à la fréquence de ces posts... Keep in touch ;)

En tant que future chef de produit (j'espère), j'ai une furieuse tendance à aimer tester les nouveautés, qui plus ait les nouveautés en terme de nourriture. Alors quand l'autre jour, j'ai vu sur une affiche de bus, la série limitée Tagada Pink, je n'ai pas pu m'empêcher d'en acheter un paquet pour tester. Haribo a sortit une série limitée de fraises Tagada, plus "roses" barbie que les autres. Et à la différence de la fraise Tagada classique, celles là, elles piquent. Un peu à la façon des "bouteilles de coca" de notre enfance.

C'est avec un peu d'appréhension que j'ai donc procédé au test de ce produit. Les fraises Tagada ont un goût particulier, que même les marques de distributeur n'arrivent pas à imiter. J'avais donc peur que ces nouvelles fraises ne soient pas à la hauteur.

Et ce fût une erreur de ma part. Car en plus d'avoir le même merveilleux gout que ses grandes sœurs, ces fraises tagada ont un petit goût acidulée qui ne tire pas trop la larme à l'œil. Et là où Haribo a fait très fort, c'est sur la texture. Après un léger croquant sous la dent, le coeur est beaucoup plus tendre que dans les fraises tagada classique, et ça, c'est un régal ! En bref, c'est un bonheur. Faites attention quand même à pas trop en manger d'affilé, ça donne soif... Ces fraises ne m'ont vraiment pas déçues (contrairement au film que j'ai vu au ciné en les mangeant... affaire à suivre)