Préparez le canard : couper la peau des magrets sans couper la chaire. Mettre les magrets dans une poële sans matière grasse du côté peau. Faire dorer de chaque côté, selon votre goût (pour une viande rosée, comptez 5 minutes de chaque côté)... Au fur et à mesure, enlever la graisse de cuisson (ou la réserver pour les pommes de terre si vous n'avez pas de graisse d'oie). Une fois les magrets cuits, les réserver (au four pour pas qu'ils ne refroidissent, mais à basse température pour ne pas qu'ils continuent de cuire ni ne sèche).

Préparez la sauce : Dans la poêle de cuisson du canard, déglacer le jus avec du fond de veau. Mélanger ensuite le miel et le vinaigre selon les dosages suivant : pour une cuillère à soupe de miel, compter une cuillère à café de vinaigre. (Le vinaigre balsamique donne un petit goût à la sauce, le vinaigre d'alcool convient également)... Ne pas faire bouillir le mélange pour risque de caramélisation, remuer jusqu'à l'obtention d'une sauce brune bien homogène.

Une petite suggestion d'accompagnement : Les pommes de terre sarladaises




Préparez les pommes de terre : éplucher les pommes de terre, les rincer, bien les essuyer puis les couper en tranche relativement fine et bien plate. Dans une poêle, faire chauffer la matière grasse (graisse d'oie si possible, beurre salé sinon). Verser les pommes de terre et les faire dorer des deux côtés. Dès que les pommes de terre changent de couleur, baisser le feu et laisser cuire doucement. (environ 45 minutes)... Le but est que les pommes de terre soient croustillantes atour mais moelleuses à l'intérieur ;)

Préparez la persillade : dans un récipient, hachez du persil puis mélangez le à la gousse d'ail préalablement écrasée. Assaisonner à votre convenance.

Finissez la cuisson du plat : Vous n'avez plus qu'à mélanger la persillade et les pommes de terre. Le but est de faire croustiller les pommes de terre sans faire cramer la persillade.

Montez vos assiettes : Mettez les pommes de terre, puis le canard et enfin napper généreusement les canards de sauce au miel...

Petit conseil : Si vous faites ce plat en entier, commencer par les pommes de terre puis occupez vous du canard lorsque les pommes de terre doivent cuire à feu moyen. La sauce peut être faite en toute fin, 2 minutes avant de servir.

Et voilà un plat (très) gourmand et pas du tout light !
 

Désolé pour l'absence, mais j'ai eu beaucoup de chose à gérer, des concessions à faire... donc j'ai sacrifié mon blog sur l'autel du travail. Je vais essayer de m'appliquer un peu plus et de reposter régulièrement ici.

Aujourd'hui, je vais vous parler d'une de mes dernières acquisitions : le coffret "My Bento Box" aux éditions Marabout, avec dedans le livre "Mes petits Bento" de Laure Kié.

Pour rappel, qu'est ce qu'un bento ?
"Le bentō (弁当) est un terme japonais désignant le repas rapide ou casse croûte contenu dans un coffret pris hors de la maison mais aussi un plat unique japonais extrêmement populaire au Japon." Autrement dit, le bento est la "lunch box" japonaise. Sauf qu'au japon, la lunch box prend des allures de dessin-animés et devient de véritables créations artistiques de toutes les couleurs...
(voir ICI, ou ICI)

En bref, moi qui vais bientôt m'attaquer à la dure loi d'un stage de 6 mois dans une grande entreprise de biens de grande consommation, je me suis donc dit plutôt que de manger tous les jours à la cantine, autant acquérir une "Bento Box" et me mettre à la création de petits plats.

(Pour les photos plus en détails, cliquez ICI)

Ce kit est vraiment très complet puisqu'il contient tous les accessoires nécessaires à la réalisation du bento. Et je vais même pouvoir faire moi même mes sushis avec le moule à sushi :D Un autre accessoire qui ma beaucoup amusé, est le moule à œuf dur en forme d'étoile... C'est original et ça change de l'ordinaire. Enfin, l'avantage du livre d'accompagnement du kit, est non seulement de nous montrer de nombreuses créations très jolies et très réussies (mais toujours dans des bento plus grand que celui offert dans le kit...) mais, et surtout, de proposer des recettes japonaises qu'il va falloir que je teste très rapidement !

La boite est assez petite mais devrait suffire si je la remplit avec des aliments qui blinde bien le ventre, et puis après tout, c'est l'été, faut manger plus léger ! Et cette boite est bien plus pratique que la collection de tupperware que je me trimballe habituellement... Là tout est compris dans la même boite ! Même les couverts !

En tant que future chef de produit (j'espère), j'ai une furieuse tendance à aimer tester les nouveautés, qui plus ait les nouveautés en terme de nourriture. Alors quand l'autre jour, j'ai vu sur une affiche de bus, la série limitée Tagada Pink, je n'ai pas pu m'empêcher d'en acheter un paquet pour tester. Haribo a sortit une série limitée de fraises Tagada, plus "roses" barbie que les autres. Et à la différence de la fraise Tagada classique, celles là, elles piquent. Un peu à la façon des "bouteilles de coca" de notre enfance.

C'est avec un peu d'appréhension que j'ai donc procédé au test de ce produit. Les fraises Tagada ont un goût particulier, que même les marques de distributeur n'arrivent pas à imiter. J'avais donc peur que ces nouvelles fraises ne soient pas à la hauteur.

Et ce fût une erreur de ma part. Car en plus d'avoir le même merveilleux gout que ses grandes sœurs, ces fraises tagada ont un petit goût acidulée qui ne tire pas trop la larme à l'œil. Et là où Haribo a fait très fort, c'est sur la texture. Après un léger croquant sous la dent, le coeur est beaucoup plus tendre que dans les fraises tagada classique, et ça, c'est un régal ! En bref, c'est un bonheur. Faites attention quand même à pas trop en manger d'affilé, ça donne soif... Ces fraises ne m'ont vraiment pas déçues (contrairement au film que j'ai vu au ciné en les mangeant... affaire à suivre)

Dans mon étagère de cuisine, j'avais une boite de "Mélange de céréales & légumes secs" de Monsieur Carrefour, avec dedans un petit mélange de blé, de soja, de lentilles corail et de quinoa rouge. Même si la date de péremption de ces petites choses là n'est pas très proche, ça fait un an que cette boite est assise sur l'étagère, et elle a même vécu un déménagement. Je me devais donc de lui trouver une utilité. Et c'est ainsi que me vint l'idée de le cuisiner en taboulé. Et ce fût réussi ! J'ai un peu variée la recette traditionnelle du taboulé... Il le fallait bien pour mettre à l'honneur ce petit mélange. C'était rafraichissant, un parfait petit repas de printemps !













Pour présenter, n'hésitez pas à mettre du taboulé dans un bol ou dans une petite cocotte puis de retournez (comme les petits pâtés de notre enfance). Une présentation simple, mais qui change du traditionnel tas de semoule au milieu de l'assiette...
 

Je suis amoureuse de la nourriture japonaise. Bon, je sais, les sushis et autres makis ne sont qu'une infime partie de la nourriture japonaise, et n'ayant jamais mis l'ombre d'un orteil au Japon, je ne peux pas vraiment me faire une impression sur l'étendue culinaire du pays. Mais même. La nourriture japonaise parait tellement saine et fraîche que l'on ne peut que l'apprécier. Je deviens accro au poisson cru et je me vois donc dans l'obligation d'aller manger des sushis, des sashimis ou des chirachis trois à quatre fois par mois. C'est peu me direz vous, mais mon porte-monnaie n'est pas de cet avis !

Une chose est sûre, c'est qu'un jour j'aimerai bien goûter autre chose que les traditionnels combo poisson cru/riz ou brochettes que l'on trouve dans la majorité des japonnais. Un jour, quand j'aurai remis les pieds dans la grande capitale, je me dégoterais un petit japonnais avec des repas traditionnels. Je suis sur que je ne serai pas déçue...

Pour nos 6 mois, Mr Glü et moi avons commandé des sushis, parce qu'on ne pouvait pas faire autrement. Alors comme on avait vu grand, il me restait des sushis pour le lendemain midi, et de la salade d'algues.

La salade d'algue, c'est assez spéciale la première fois. Ce n'est pas tellement l'aspect visuel qui me rebutait, mais plutôt la peur de manger quelque chose d'un gluant proche du ver de terre. Et finalement, j'ai été surprise. Puisqu'il ne me restait qu'un tout petit peu de salade, j'ai innové et j'ai fait une Salade d'algues vertes et de graines germées. Pour ceux qui ne connaissent pas les graines germées, ce sont tout simplement des graines de légumes (comme le radis par exemple), que l'on fait germé. On peut en mettre partout (salade, plat, sandwish) et c'est très bon. Voici donc la recette de cette délicieuse salade.

Dans un bol, mélangez des algues vertes (salade d'algues vertes de chez Sushi Shop par exemple, car difficile à trouver dans le marché sinon). Rajoutez le même volumes de graines germées. Faire roussir des graines de sésame dans une poêle (mettre les graines au fond d'une poêle et faire chauffer jusqu'à ce qu'elles soient dorées). Rajoutez deux ou trois gouttes de sauce soja. Remuez et dégustez bien frais.